Dans la série « Ils dansent » mes personas mettent en scène une mécanique ondulatoire des émotions. Comme dans les rapports sociaux de tous les jours, les personas se parlent ou s’ignorent, se regroupent ou s’isolent, se soumettent ou dominent, se replient ou s’élancent. A partir de 2019, l’« Hombigu » cède dorénavant le pas au « persona » qui incarne maintenant l’« être » au sens large, un « étant » non genré, et non racisé.

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